L'heure est à la Révolution.
Publié : 08 avr. 2012, 11:51
Je ne suis pas un grand parleur, un stratège ou un dirigeant.
Je ne suis même pas un bon joueur.
Mais je suis un français.
Et aujourd'hui je suis révolté.
Comment peut-on tolérer d'être dirigé, jugé, mené à l’échafaud et finir anéanti sans réagir ?
Ils sont venus dans notre pays, sur nos propres terres. Ils sont venus sur notre terrain et ils nous ont écrasés.
Massacrés.
Humiliés.
Ils ont les armées les plus puissantes, les villes les plus grandes, les stratégies les plus complexes, les sciences les plus développées et assurent une domination totale.
Mais ils ne sont que dizaine parmi des milliers, qu'un grain de sable sur la plage.
Un crachat dans l'océan.
Pour sauver un corps de la gangrène on en coupe le membre malade.
Quand le roi est sans pitié, quand la dictature s'impose, le peuple se soulève.
Que peuvent dix perdus dans des milliers ?
Les règles sont établies par les plus forts, ils se permettent de nous piller, de nous exterminer, de nous dominer...de nous diriger ?
Mais, quand la coupe déborde, la couronne tombe.
Un pays libre est guidé par son peuple.
Mais des esclaves sont soumis à leur chef.
Êtes-vous des esclaves ?
Je ne suis pas un bon joueur.
Mais je suis un français.
Un français révolté.
Que peut une poignée d'étranger face à la multitude ?
Sous la Tempête le Chêne casse et le Roseau plie.
Mais quand vient la Tempête je ne suis plus ni l'un ni l'autre.
Je suis forêt.
Quand bien même qu'un, dix ou cent meurent. Que la Tempête s'acharne, grossit, attaque, massacre et s'impose. Qu'elle soit sauvage, sans pitié et démesurée. Peu importe sa taille, peu importe sa durée.
Quand elle faiblit et s’éteint, quand elle n'est plus qu'un souvenir oublié dans nos mémoires, moi, je suis toujours là.
Aussi je vous demande de ne plus être Chêne ou Roseau, mais d'être Forêt.
1812 était de la provocation.
2012 sera l'extermination.
Qu'un russe ose se mettre sur votre chemin.
Qu'il ose vous menacer, vous piller ou vous posséder.
Aujourd'hui, vous n'êtes plus seul.
Je ne suis même pas un bon joueur.
Mais je suis un français.
Et aujourd'hui je suis révolté.
Comment peut-on tolérer d'être dirigé, jugé, mené à l’échafaud et finir anéanti sans réagir ?
Ils sont venus dans notre pays, sur nos propres terres. Ils sont venus sur notre terrain et ils nous ont écrasés.
Massacrés.
Humiliés.
Ils ont les armées les plus puissantes, les villes les plus grandes, les stratégies les plus complexes, les sciences les plus développées et assurent une domination totale.
Mais ils ne sont que dizaine parmi des milliers, qu'un grain de sable sur la plage.
Un crachat dans l'océan.
Pour sauver un corps de la gangrène on en coupe le membre malade.
Quand le roi est sans pitié, quand la dictature s'impose, le peuple se soulève.
Que peuvent dix perdus dans des milliers ?
Les règles sont établies par les plus forts, ils se permettent de nous piller, de nous exterminer, de nous dominer...de nous diriger ?
Mais, quand la coupe déborde, la couronne tombe.
Un pays libre est guidé par son peuple.
Mais des esclaves sont soumis à leur chef.
Êtes-vous des esclaves ?
Je ne suis pas un bon joueur.
Mais je suis un français.
Un français révolté.
Que peut une poignée d'étranger face à la multitude ?
Sous la Tempête le Chêne casse et le Roseau plie.
Mais quand vient la Tempête je ne suis plus ni l'un ni l'autre.
Je suis forêt.
Quand bien même qu'un, dix ou cent meurent. Que la Tempête s'acharne, grossit, attaque, massacre et s'impose. Qu'elle soit sauvage, sans pitié et démesurée. Peu importe sa taille, peu importe sa durée.
Quand elle faiblit et s’éteint, quand elle n'est plus qu'un souvenir oublié dans nos mémoires, moi, je suis toujours là.
Aussi je vous demande de ne plus être Chêne ou Roseau, mais d'être Forêt.
1812 était de la provocation.
2012 sera l'extermination.
Qu'un russe ose se mettre sur votre chemin.
Qu'il ose vous menacer, vous piller ou vous posséder.
Aujourd'hui, vous n'êtes plus seul.