puis les festivités étaient dus.
Rivières de viande et les femmes du vin avaient tourné sur un altresi de nuit 'tiède
et les troupes étaient encore jouissant du droit sommeil.
A l'horizon, on pouvait voir un léger aube
tout semblait présupposer que la journée serait passer avec la routine habituelle
un bon bain chaud, le nettoyage des armes à aiguiser épées et boucliers axes de renforcement.
Lorsque tout semblait calme coups à la porte du château, tiré de guerriers de sommeil.
Un ambassadeur des frontières souveraines "Re Pisellino" à nos terres, nous avons annoncé avec une grande
agitation qui quelques lieues plus «dans les troupes avaient été aperçus dans un certain nombre de monstres jamais vu avant et que la peur de ne pas les vaincre par ses propres troupes, qui semblent était réel.
Le capitaine de «l'armée ne avait pas besoin de répéter deux fois, doublé les tours de garde, a donné l'alarme aux troupes aux ordres d'être tout prêt dans les 15 minutes
va immédiatement dans les chambres réels pour alerter son Locloc souverain suprême.
Les nouvelles choquantes du roi l'ordre d'envoyer des espions pour déterminer le montant 'de troupes ennemies et de commencer à planifier une stratégie pour répondre sans délai la bataille.
Le soleil avait éclaté lorsque les espions du scrutin confirment avec une certaine crainte que ce que dit par l'ambassadeur du roi Pisellino correspond à la vraie
Mais maintenant, tout était prêt, les soldats déjà «tremblaient d'excitation pour la bataille à venir.
Le Locloc souverain au guidon de sa fidèle monture a donné l'ordre d'ouvrir la porte,
et les troupes ont fait leur chemin vers le point de rencontre convenu avec le roi Pisellino.
Peu de temps après les deux armées menées par les deux souverains étaient prêts et déployé, et se sont rendus à la position de l'ennemi.
Ce était une lutte épique en parlent encore aujourd'hui, il est dit que même certains monstres générales ont fui pour éviter la mort.
Mais comme toutes les histoires, ce est quelque chose de réel et quelque chose est légende.
Il reste à vous de juger
et nous nous attendons 
